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• La croissance du PIB réel a atteint 3.6 % en 2013, contre 11.1 % en 2012(démarrage de la production de pétrole brut et une bonne récolte agricole), en raison du ralentissement de la production dans les secteurs agricole et minier.
   
• Doing Business classe le pays au 176e rang en 2013 et 2014 (173/183). le pays a reculé par rapport à 2013 dans le domaine de la protection des investisseurs, l’exécution des contrats et le règlement de l’insolvabilité.
   
• Les secteurs minier et pétrolier attirent le plus d'IDE. La France, le Japon, la Suède et les États-Unis sont les principaux pays investisseurs.
   
• Le Niger dispose de plus importantes ressources d'uranium du monde. L’exploitation d'uranium a été confiée au groupe français Areva (un processus de négociation a été lancé depuis l’arrivée à échéance du contrat d’exploitation fin 2013.). La mine d’Imouraren est considérée comme le second gisement d’uranium mondial.
   
• L’insécurité (crise malienne et enlèvements d’Occidentaux au Niger) constitue l’obstacle majeur pour le développement des investissements étrangers dans le pays.
   
• Prédominance du secteur informel au cours des deux dernières décennies au dépend du secteur privé (moins de 5 % du PIB) au pays qui souffre de l’étroitesse du marché intérieur et le faible accès au  financement.
   
• Absence de réforme majeure en matière d’amélioration du climat des affaires.
   
• Le pays a initié plusieurs programmes dans le cadre du plan de développement économique et social (PDES 2012-15).
   
• La mise en oeuvre de l’initiative 3N (les Nigériens nourrissent les Nigériens) a contribué à l’augmentation de la production irriguée.
   
• Le pays s’est doté d’une charte nationale de bonne gouvernance dans la gestion des ressources minérales et a atteint en 2012 le statut de conformité totale de l’Initiative pour la transparence des industries extractives (ITIE).
   
• Les exportations de biens sont passées de 22.1 % du PIB en 2012 à 21.9 % en 2013 (suite au recul des ventes d’uranium et d’or). Les importations, ont diminué à 28.1 % du PIB contre 28.5 % en 2012 (baisse des achats de produits alimentaires).
   
• Le secteur financier est peu diversifié: une dizaine de banques et un établissement financier.
   
• Le Niger dispose d’atouts, notamment un coût du travail modéré, la taille du marché régional et l’abondance de matières premières. Les secteurs des industries agroalimentaires, extractives, manufacturières et des services (téléphonie et fourniture de services Internet) offrent de bonnes perspectives de développement des les chaînes de valeur mondiales(CVM).

Source : BAD

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